San Pedro de Macorís est l’une des 32 provinces de la République dominicaine. Son chef-lieu porte le même nom que la province. Elle est limitée au nord par les provinces Hato Mayor et El Seibo, à l’est avec la province La Romana, au sud avec la Mer des Caraïbes et à l’ouest avec les provinces de Santo Domingo et Monte Plata. Juan Dolio est une ville de République Dominicaine, située à 45 min. à l’est de la capitale Santo Domingo, et encore plus près de l’aéroport international Las Américas, la ville balnéaire cosmopolite offre une échappée tropicale facile et tranquille près de la capitale. La plage de sable blanc de Juan Dolio, longue de 10 kilomètres, spacieuse et étincelante, est parsemée d’hôtels, de boutiques de plongée, de restaurants et de bars, ainsi que d’une variété de maisons de vacances, de communautés résidentielles haut de gamme et de condominiums récemment construits. La ville de San Pedro de Macoris est à seulement 16 km de Juan Dolio. C’est également le point de départ idéal pour des excursions d’un jour à Santo Domingo, San Pedro de Macorís ou La Romana situées à une heure de route, en direction est ou ouest, et qui regorgent de points commerciaux. N’hésitez pas à visiter l’impressionnante Cueva de las Maravillas, un lieu où l’histoire et la géologie se rencontrent, à approximativement deux kilomètres en suivant la route vers La Romana.
Centre historique du Rhum Barceló
Excursion à la ville de San Pedro de Macorís, à 15 minutes à l’est de Juan Dolio, pour découvrir la distillerie Barceló qui est l’une des plus grandes marques de rhum du pays. Ouvert en 2012, le Centre Historique du Rhum Barceló offre une exposition très complète sur l’histoire de la fabrication du rhum dans le pays, son rôle dans la culture et du processus de fabrication. Vous pourrez même découvrir les chais de rhum, déguster sur place les différentes sortes de rhum Barceló dans le magnifique bar et acheter vos préférés avant de repartir.
Cueva de Las Maravillas
Cet immense réseau de grottes abrite des centaines de pictogrammes et pétroglyphes Taïnos bien conservés remontant à des milliers d’années. Promenez-vous parmi d’impressionnants exemples d’art rupestre, de stalactites et stalagmites, qui ont valu à ce site son nom de « grotte des Merveilles ». Descendez 25 mètres sous terre et respirez la climatisation naturelle en suivant la piste de 244 mètres. Vous pourrez admirer plus de 400 peintures et gravures rupestres des Indiens Taïnos. Cette grotte se situe sur l’autoroute reliant San Pedro de Macoris à La Romana, à 15 minutes de Juan Dolio.
Le stade Tetelo Vargas
De la mi-octobre à la fin janvier, la République Dominicaine vit à l’heure du baseball. L’équipe de baseball de San Pedro de Macorís s’appelle las Estrellas Orientales. En saison, plusieurs fois par semaine, les meilleures équipes de la Dominican Winter Professional Baseball League jouent des matches à 15 minutes de route de Juan Dolio.
Calle Central
Le weekend, des centaines de personnes viennent manger dans les restaurants renommés à Calle Central ou sur le Boulevard de Juan Dolio. Dans cette place, de nombreux restaurants font en même temps office de bar et salon. Les restaurants les plus populaires sont El Sueño, El Mesón Español, Bistro Marianna, Sal Marina, El Lobo y la Sal, El Concón, Café del Sol, Paladar, et La Brissa.
Guayacanes
Le weekend, des centaines de personnes viennent manger dans les restaurants renommés de Guayacanes. Dans cette place, de nombreux restaurants font en même temps office de bar et salon. Les restaurants les plus populaires sont le Deli Swiss, La Playa by Nopal, Salitre, Playa El Pescador, Sca Club, St. Tropez Caribe, El Manguilito et le Cococane Beach.
Chinatown
L’un des deux seuls quartiers chinois des Caraïbes, terminé en 2008, le Barrio Chino de Saint-Domingue se trouve directement au nord de la Ville Coloniale. Des portiques chinois marquent le début et la fin du quartier, qui suit essentiellement l’Avenida Duarte et s’étend à travers les avenues Mexico, Mella et Benito González. Des sculptures des principaux personnages chinois parsèment les rues, allant d’un moine à des lions grandeur nature. Les restaurants chinois les plus authentiques de la ville se trouvent ici, de même que de nombreuses épiceries chinoises, un marché de légumes en plein air tous les dimanches et autres magasins locaux vendant des vêtements aux articles ménagers. Le rythme sino-caribéen unique de ce quartier vaut l’expérience.
Faro a Colón
Construit en forme de croix, le Phare de Colomb surveille l’extrémité est de Saint-Domingue. La dépouille de Christophe Colomb a été trouvée sur ce site, qui fait également office de mausolée et de musée. Le phare a été conçu par l’architecte écossais Joseph Gleave et construit sous le gouvernement du président Joaquín Balaguer pour commémorer le 500e anniversaire de l’arrivée de Colomb sur l’île. Plusieurs salles exposent des objets indigènes provenant de l’ensemble des Amériques.
Malecón
La promenade du front de mer de la ville qui est officiellement le Boulevard George Washington et c’est l’un de ses sites emblématiques, ayant joué un rôle prépondérant lorsque Saint-Domingue fut sélectionnée comme Capitale culturelle des Amériques en 2010. Bordée par la mer des Caraïbes d’un côté et des rangées de grands hôtels, de restaurants et de vie nocturne de l’autre, le Malecón prend vie en fin d’après-midi au coucher du soleil, et jusque tard dans la nuit. Les habitants se baladent le long de la promenade, en passant devant deux historiques monuments en forme d’obélisque, pour respirer la brise du soir, faire du jogging ou du vélo, ou tout simplement profiter de l’un des parcs récréatifs du front de mer, tels que celui de la Plaza Juan Barón et Güibia. Rénové en 2017, le Malecón est plus animé que jamais, avec ses pistes cyclables et pour patins à roues alignées, de même qu’un plus grand nombre d’esplanades et de lieux de détente le long de la mer. Des bars d’hôtels haut de gamme et conviviaux proposent de la musique en direct sur leurs terrasses en plein air ou à côté de la piscine.
Playa Caribe
Le weekend, des centaines de personnes viennent manger dans les restaurants renommés à Calle Central ou sur le Boulevard de Juan Dolio. Dans cette place, de nombreux restaurants font en même temps office de bar et salon. Les restaurants les plus populaires sont El Sueño, El Mesón Español, Bistro Marianna, Sal Marina, El Lobo y la Sal, El Concón, Café del Sol, Paladar, et La Brissa.
Playa Guayacanes
Ce petit village de pêche de Guayacanes offre une plage de sable blanc, n’accueillant que quelques restaurants et maisons. Les pêcheurs s’y rendent fréquemment lorsqu’ils sortent pêcher et reviennent de la mer, pendant que les locaux affluent ici pour jouer avec les vagues et passer une journée tranquille dans ces eaux turquoise. Il est recommandé de porter de bonnes chaussures pour l’eau, car certaines parties de la plage sont rocailleuses. C’est un endroit réputé pour ses levers et couchers de soleil.
Playa Juan Dolio
Il vous faudra plus d’une heure pour parcourir à pied d’un bout à l’autre cette magnifique plage de sable blanc de 10 kilomètres. Avec ses vagues et ses zones plus calmes, la plage borde la rue principale de Calle Principal à Juan Dolio. Durant votre parcours se succèdent des bars, restaurants, immeubles et villas sur le front de mer. Juan Dolio a récemment connu une réactivation et une flambée d’hébergements et de centres de villégiature haut de gamme, attirant encore plus de citadins qui viennent s’y évader les week-ends. La plage a deux entrées publiques à l’entrée de la ville et sur le boulevard derrière le Club Hemingway.
Juan Dolio
Plusieurs boutiques de souvenirs bordent les routes principales de Juan Dolio.
San Pedro de Macorís
Pour le café, le rhum et les cigares, rendez-vous à l’hypermarché Jumbo à San Pedro de Macorís, qui reste ouvert jusque tard le soir. Il est bien situé dans l’avenue Luis Amiama.
Boca Chica
Le supermarché Olé, au nord de l’autoroute Las Americas est bien achalandé et offre les meilleurs prix. En ville, les rues Duarte et 20 de Diciembre sont bordées de petites boutiques de souvenirs. Comparez les prix avant d’acheter des biens et services auprès des vendeurs de rue et de plage, ainsi que dans les restaurants et les bars.
Santo Domingo
Sainto Domingo offre le plus grand nombre de magasins de toute la République dominicaine. Au-delà des typiques magasins de souvenirs, la ville coloniale regorge de galeries d’art et d’artisanat bien achalandées, proposant art, textiles et bijoux en ambre et larimar dominicains. Le cœur de la ville offre des centres commerciaux modernes telle que le Blue Mall et l’Ágora Mall qui sont parmi les plus populaires et égaux en tailles et prestations à ceux que l’on trouve en Europe ou en Amérique du Nord, proposant des vêtements de marques de créateurs, des magasins de technologie, des cinémas 3D, des espaces restauration et autres services. Outre les centres commerciaux, vous trouverez des magasins spécialisés en cigares, tels que La Leyenda del Cigarro, où vous pouvez regarder travailler un rouleur de cigares, et Arturo Fuente, un salon de cigares haut de gamme, associant cocktails et amuse-bouches. D’autres lieux pour faire du shopping sont les supermarchés en général et ceux pour gourmets, les magasins d’électroménager, les magasins discount chinois et les marchés aux puces en plein air. Quelle que soit votre recherche, rendez-vous à La Capitale.
Histoire de San Pedro de Macorís
Le musée d’histoire de San Pedro de Macorís se trouve à côté de la cathédrale de San Pedro de Macorís, mais il n’est pas très connu, même par les habitants de la ville. Pourtant, il est fort intéressant pour les visiteurs qui veulent contempler les objets typiques de la zone. Ainsi, il dispose d’une vaste représentation de l’histoire et la culture de la région, regroupée dans une ancienne grande bâtisse en bois située en plein centre-ville, ce qui attire déjà l’attention des visiteurs. À l’intérieur, il y a exposé près de huit cents pièces historiques de la ville, telles que des photographies de personnes bien connues et nées à San Pedro de Macorís, et d’autres anciens objets typiques des activités de la zone, par exemple une caisse enregistreuse, un fer à repasser ou de nombreuses pièces en rapport avec l’évolution du téléphone dans le temps.
Alcázar de Colón
C’est l’un des musées les plus populaires de la ville Coloniale de Santo Domingo avec son impressionnante en architecture. Achevé vers 1512, ce palais de style gothique et Renaissance fut jadis la demeure de Diego Colomb, fils de Christophe Colomb, et de son épouse, María de Toledo, nièce du roi Ferdinand d’Espagne. Avec des vues donnant sur Plaza de España d’un côté et sur le fleuve Ozama de l’autre, c’est la plus ancienne résidence vice-royale des Amérique et le premier palais fortifié, converti en musée exposant des meubles, de l’art, des instruments de musique et des armes datant du XVIe siècle. Des escaliers en colimaçon conduisent aux chambres bien conservées du couple et au somptueux salon de réception éclairé par des lustres en cristal, où des événements étaient célébrés pour l’aristocratie espagnole.
Casa de Tostado
Occupant l’ancienne demeure du XVIe siècle de l’Espagnol Francisco Tostado, ce magnifique bâtiment colonial rénové en musée qui est également connu sous le nom de Museo de la Familia Dominicana del Siglo XIX, présente le style de vie des familles dominicaines de classe moyenne du XIXe siècle grâce aux meubles d’une chambre et d’une bibliothèque, une cuisine avec un four à charbon de bois, une salle de couture et un salon de thé. Les différents articles rassemblés proviennent de plusieurs familles importantes afin de recréer chaque scène. Le bâtiment de style gothique-élisabéthain à double vitrage est la seule maison des Amériques à présenter cette caractéristique architecturale. Il est situé à Santo Domingo.
Centre culturel des télécommunications
C’est le plus jeune musée de la ville, qui fut inauguré en 2011 et qui est également l’un des plus intéressants, exposant l’histoire et l’évolution des médias en République dominicaine, de la télé à la radio et internet jusqu’au XXe siècle et au-delà. Le bâtiment à trois étages a une façade moderne qui se dégage des splendides bâtiments coloniaux l’entourant dans la Calle Isabel La Católica et ses expositions présentent d’anciens instruments de communication, de même qu’une salle de robotique, une salle de jeux électroniques et une bibliothèque de médias audio-visuels.
Atarazanas Royales
Le musée des Atarazanas Royales est un espace qui abrite l’exposition d’archéologie subaquatique la plus importante de la République Dominicaine et de toute l’Amérique, qui a ouvert ses portes fins 2019, dans le but de dévoiler une précieuse collection de biens historiques et culturels extraits des côtes dominicaines. Sa muséographie se développe à travers un récit qui raconte les histoires de plus d’une douzaine de naufrages historiques survenus entre le XVe et le XIXe siècle. Ce musée, situé dans la ville coloniale de Santo Domingo, se trouve dans un des bâtiments coloniaux qui donnent une valeur monumentale à son centre historique : un chantier naval du 16ᵉ siècle. Pour la sélection de la collection du musée ont été restaurée plus de 1400 pièces, en collaboration avec l’Office National du Patrimoine Culturel Subaquatique, exposées autour des histoires de naufrage des navires dans lesquels elles ont été transportées.
Bellapart
C’est un musée privé, abritant une magnifique collection de plus de 2000 œuvres d’art de célèbres artistes dominicains des XIXe et XXe siècles qui se composent de peintures aux sculptures en passant par l’art plastique, présentées au cinquième étage du bâtiment Honda. Le musée abrite également la collection la plus complète de Jaime Colson, un peintre moderniste dominicain reconnu internationalement. Des expositions temporaires incluent des œuvres d’artistes espagnols qui ont échappé à la dictature de Franco en s’exilant ici pendant la guerre civile espagnole.
Cire Juan Pablo Duarte
Inauguré en 2017, le premier musée de cire de la République dominicaine présente la vie et l’époque de l’un des plus populaires héros de l’indépendance du pays : Juan Pablo Duarte. Des figures de cire, grandeur nature, placées dans des vitrines, décrivent la trajectoire de sa vie, depuis sa naissance jusqu’à son éducation à l’étranger, y compris sa lutte pour l’indépendance du pays à l’égard d’Haïti. Au second étage se trouve l’ancienne demeure de la famille Duarte, avec des meubles et des tableaux d’époque ainsi que des figures de cire des membres de sa famille. Entrez dans la cour et découvrez des murs couverts de plaques reproduisant des citations célèbres de Duarte, de même qu’un grand blason de la République dominicaine.
De Las Casas Reales
Le musée des Maisons royales a été utilisé par le Gouverneur espagnol comme Cour royale au XVIe siècle, accueillant le palais du gouverneur, le trésor et les cours de justice. De nos jours, le musée offre une vue d’ensemble sur l’histoire de la République dominicaine, de l’époque coloniale en 1492 à celle de l’esclavage et la première indépendance du pays à l’égard de l’Espagne en 1821. Vous découvrirez des présentations sur les multiples voyages de Colomb, avec des répliques de ses navires, une collection de trésors de l’époque et des armes datant de celle du dictateur Rafael Leónidas Trujillo, entre autres. Le bâtiment en soi affiche une impressionnante d’architecture coloniale, ponctuée de grands patios.
Mémorial de la Résistance
C’est un immense retour en arrière dans les jours sombres de la République dominicaine sous la dictature de Rafael Leónidas Trujillo. Cette collection est un impressionnant effort de collaboration d’historiens et de parents des victimes sous la dictature de Trujillo. Il a pour but d’éviter que l’histoire ne se répète. Ce musée est situé dans la ville coloniale, incluant des présentations multimédia émouvantes, présentant des héros dominicains qui luttèrent contre l’oppression, de même que de sombres moments tels que le massacre des Haïtiens de 1937 et le meurtre des Sœurs Mirabal en 1960.
Expérience Kah-Kow
Gérée par l’un des premiers exportateurs de cacao du pays, cette exploitation, en partie musée, en partie fabrique de chocolat, est située au cœur de la rue historique la Calle Las Damas. Il vous offre un aperçu très complet de la florissante industrie cacaoyère de la République dominicaine. La présentation multimédia inclut un théâtre holographique, de même qu’une visite audio guidée à travers plusieurs salles et des expositions expliquant le processus du chocolat, du cacaoyer à la cabosse et la tablette. La salle de dégustation propose plusieurs types de chocolats, allant du blanc ou noir que vous pourrez goûter autant que vous voudrez. Une fabrique de chocolat se trouve à l’intérieur d’une pièce entièrement vitrée au milieu de la cour du bâtiment, où des ateliers sont proposés à ceux qui se sont inscrits à l’avance.
Cathédral de San Pedro de Macorís
C’est au début du XIXe siècle que la première construction a été érigée dans cet endroit, en l’honneur de San Pedro Apóstol. Ainsi, l’église a été construite en palmier et en bois, et les ouragans et les incendies successifs l’ont bientôt détruite. Pourtant, en 1910, la construction du bâtiment actuel a commencé et il est aujourd’hui possible de le visiter sur le même emplacement. En plus, elle a été bâtie à partir de la première cargaison de béton arrivée sur l’île, en lançant le début de la modernisation et en devenant une partie de l’histoire du pays. La façade principale est sculptée d’une archivolte qui présente aussi une rosace. La rosace montre le blason des franciscains, puisque c’est l’ordre qui a fait construire le temple. De plus, les pinacles, les contreforts et les rebords sont décorés en style gothique, mais en béton et non en pierre. L’intérieur du bâtiment est de style roman, et la nef centrale voûtée avec des lucarnes et des arcs en plein cintre en vitrail, ce qui donne à l’église un bon éclairage. En outre, il faut remarquer les vitraux en grisaille, lesquels composent la collection la plus importante et avec plus de valeur économique de la République Dominicaine.
Chapelle Notre Dame des Remèdes
Nichée au fond de la Calle Las Damas, juste avant l’esplanade de Plaza de España, vous observerez le clocher à deux cloches et de sa Chapelle de Notre-Dame des Remèdes. De style gothique, ouvrant ces portes pour des concerts de musique classique, d’expositions d’art et visites de groupes. Construite à l’origine au XVIe siècle par la famille Dávila, la chapelle datant de 500 ans fut conçue comme un sanctuaire religieux privé, où les familles espagnoles importantes se rassemblaient pour prier. Elle fut restaurée en 1884 et vous pourrez voir ses splendides arches intérieures, de l’art de l’époque et une sculpture de la vierge de los Remedios sur son autel.
Cathédrale Prima de America
Construite entre 1510 et 1540, la première cathédrale des Amériques, plus connue comme Santa Iglesia Catedral Basílica Nuestra Señora de la Encarcación o Anunciación, Primada de América qui continue de dominer dans toute sa gloire le cœur de la cité coloniale. Son bâtiment de style gothique, datant de 500 ans, constitue sur le site le plus important pour les cérémonies officielles et ces célébrations religieuses. La visite de son intérieur révèle le plafond orné de style gothique de la cathédrale, des peintures à l’huile de l’époque coloniale, les salles sacrées de la chapelle, ainsi qu’une zone de tombes contenant les dépouilles des archevêques. Le corps supposé de Christophe Colomb ont été trouvés ici au XIXe siècle.
Couvent Regina Angelorum
Situé dans la rue Padre Billini, c’est le deuxième couvent des Amériques qui remonte au XVIe siècle. Autrefois occupé par des religieuses, cette imposante œuvre architecturale est un lieu populaire pour les cérémonies de mariage, sans aucun doute en raison de son très bel extérieur gothique, sa chapelle aux dimensions intimes, ses plafonds en dôme, ses voûtes gothiques et sa climatisation. Le célèbre poète dominicain, Salomé Ureña, l’a converti ensuite en un établissement d’enseignement pour femmes, avant que le bâtiment redevienne un couvent.
Église de Nuestra Señora de las Mercedes
C’est l’une des églises les plus anciennes de Santo Domingo qui domine la Calle Las Mercedes et qui a été construite par les Espagnols pour établir le catholicisme dans le Nouveau Monde. Malgré une multitude de désastres, y compris des tremblements de terre et les invasions de pirates dirigées par Sir Francis Drake, le bâtiment a conservé sa conception d’origine, incluant des chapelles situées sur les côtés, caractérisées par des voûtes gothiques, et des autels contenant des éléments baroques. Nommée d’après le nom de la sainte patronne du pays, des mariages et d’importantes messes sont célébrés ici à Pâques et à Noël, ainsi que le 24 septembre, jour officiel de la fête de Notre-Dame de Las Mercedes.
Monastère de San Francisco
Ces ruines fortifiées, rustiques et impressionnantes, du monastère de San Francisco occupent de grands pâtés de maisons de la ville Coloniale de Santo Domingo qui est situé entre la Calle Duarte et la Calle Hostos qui font également office de fantastique scène de concert de merengue tous les dimanches. Cependant, les autres jours de la semaine, les ruines vastes et vides offrent une spectaculaire toile de fond pour les passionnés de photo et nous rappellent l’ancien et le tout premier monastère franciscain du XVIe siècle du Nouveau Monde. Il a enduré plusieurs désastres, y compris un incendie provoqué par Sir Francis Drake et un ou deux tremblements de terre, avant d’être finalement utilisé comme asile psychiatrique jusqu’au milieu du XXe siècle.
Forteresse Ozama
Construite par les Espagnols au début du XVIe siècle, la Forteresse Ozama est la première structure militaire permanente des Amériques, marquant le début de la colonisation espagnole. Se dressant à l’intérieur d’une grande enceinte fortifiée, elle fut construite pour ressembler à un château médiéval et est remarquable par sa tour centrale de 21 mètres de haut, dont l’escalier en colimaçon conduit à une plate-forme d’observation offrant d’impressionnantes vues sur le Río Ozama et le port de Saint-Domingue. Vous pouvez également voir les canons d’origine, face au fleuve, destinés à protéger l’entrée de la ville des pirates et des envahisseurs. La construction de la forteresse dura de 1502 à 1508 et fut dirigée par celui qui était alors le gouverneur de Saint-Domingue, Frère Nicolás de Ovando. Admirez la pierre d’origine de couleur corail du fort et son apparence médiévale, mais explorez aussi ses tunnels intérieurs et ses donjons où des prisonniers, y compris Christophe Colomb, furent incarcérés.
Jardin botanique national
C’est le plus grand jardin botanique des Caraïbes, il embellit la capitale avec plus de 2 km² de réserve naturelle remplie d’arbres autochtones de l’île, y compris une multitude d’espèces de palmiers, de fleurs avec plus de 300 espèces d’orchidées et d’oiseaux, tels que l’esclave palmiste, oiseau national du pays. Une visite en trolley vous permet de découvrir ses nombreux coins exotiques, dont le plus populaire est le jardin japonais, avec une pelouse impeccablement entretenue au bord d’un lac, idéale pour des pique-niques. Les ornithologues débutants ou passionnés peuvent s’inscrire pour des promenades guidées organisées par la Société ornithologique d’Hispaniola.
Cayacoa Golf Club
Construit en 1989 et conçu par Jack Corrie, Cayacoa Golf Club est situé à seulement 25 minutes au nord-ouest de Santo Domingo, mais reste malgré tout un secret bien gardé par les golfeurs. Le parcours de 18 trous et par 72 s’étend sur un terrain vallonné ponctué de petits lacs et quelques pars 3 formidables. Les plus hautes élévations du terrain offrent un magnifique arrière-plan d’épaisse végétation et de collines ondoyantes. Bien que relativement près de la capitale, il offre une ambiance paisible où les golfeurs peuvent se détendre après la partie dans le bar restaurant se trouvant sur place, avec une terrasse dominant le 18e trou.
Situation | Santo Domingo |
Nombres de trous | 18 |
Par | 72 |
Longueur | 5632 m. |
Metro Country Club
Le parcours de golf Los Marlins est situé dans le Country Club Metro à Juan Dolio, à seulement 30 minutes à l’est de l’aéroport international de Santo Domingo. Son parcours de golf de 18 trous inclut de nombreux bunkers artistiques, ainsi que des lacs et monticules qui viennent parachever la beauté du cadre sur les bords de la mer des Caraïbes. Ce magnifique parcours ouvert en 1995 et conçu par Charles Ankrom serpente au cœur d’un complexe résidentiel clôturé. Il dispose aussi d’une école de golf, d’un practice, d’un putting-green et d’un parcours de mini-golf de 18 trous. Le club-house abrite un restaurant, un bar terrasse et un grill, une piscine avec jacuzzi, une boutique de golf et des vestiaires. Un club de plage privé se trouve à cinq minutes à peine de là.
Situation | Juan Dolio |
Nombres de trous | 18 |
Par | 72 |
Longueur | 5348 m. |
Guavaberry Golf & Country Club
Conçus par Gary Player, le Club de Golf de 18 trous et le Country Club Guavaberry sont situés à 30 minutes à peine à l’est de l’aéroport international de Saint-Domingue, dans la station balnéaire de Juan Dolio. Le terrain de golf qui a été ouvert en 2002 et longe une réserve naturelle, a rapidement acquis une réputation de parcours difficile. Cependant, grâce à ses cinq départs, les golfeurs de tous niveaux peuvent y jouer. Gary Player a inclus des éléments uniques dans la conception de son Guavaberry telle qu’une chute de 4,5 m se jetant dans l’étang d’une carrière (sur le par 3 du 13e trou qui est le trou signature du golf, avec ses deux greens séparés qui sont alternés tous les jours pour offrir une perspective différente aux golfeurs), ainsi que des formations rocheuses coralliennes au 9e et au 18e trou. Des installations complètes se trouvent sur place, y compris piscine, restaurant et club de plage privé.
Situation | Juan Dolio |
Nombres de trous | 18 |
Par | 72 |
Longueur | 5984 m. |
Isabel Golf Club
Isabel Golf Club est un parcours simple, avec ces neuf trous, des par 3. Situé le long de la rivière Isabela, il bénéficie d’un éclairage qui permet de jouer aussi de nuit.
Situation | Santo Domingo |
Nombres de trous | 9 |
Par | 27 |
Longueur | 957 m. |
Santo Domingo Country Club
Construit en 1947, le premier terrain de golf de République Dominicaine a été conçu par des hommes d’affaires étrangers qui voulaient pouvoir jouer au golf lors de leur séjour dans l’île. Le « Country » est le club le plus exclusif de la capitale. Ce parcours est réservé aux membres adhérents, les heures de départ peuvent être réservées le matin, en semaine. Certains hôtels ont conclu des accords avec ce terrain de golf qui propose deux parcours : le Senior (18 trous) et los Robles (9 trous).
Situation | Santo Domingo |
Nombres de trous | 18 |
Par | 72 |
Longueur | 6043 m. |
Tanya V
L’épave du Tanya V de 60 m de long repose sur un banc de sable à une profondeur de 20 à 35 mètres près des récifs d’Hemingway. Il a été coulé en octobre 1999. Il est devenu un excellent site pour les plongeurs expérimentés, émaillé de magnifiques coraux et d’éponges et grouillant de barracudas.
Alto velo
L’épave de l’Alto Velo, un petit remorqueur qui repose à huit mètres de fond sur un banc de sable, une profondeur idéale pour les plongeurs débutants, au large de Playa Caribe sur la côte sud-est. Il s’est rapidement converti en un récif artificiel propice à l’installation d’une abondante vie marine.
Catuán
L’épave du Catuán coula le 12 décembre 2006 et repose à une profondeur d’environ 18 mètres. Depuis que ce remorqueur de 33 mètres s’est transformé en un très bel habitat marin de jardins de coraux et de grands bancs de petits poissons tropicaux, le convertissant en un superbe lieu que les plongeurs expérimentés peuvent explorer.
Surf à playa Caribe
Contrairement à celles de Boca Chica, les vagues de Playa Caribe, à environ 10 minutes à l’Est, sont houleuses vers midi, ce qui fait de cette plage un paradis pour le body surf ou pour la planche de surf. Les jeunes de Saint-Domingue adorent venir surfer sur ces vagues le weekend.
Pêche à Boca Chica
À côté du Yacht Club, vous pourrez pratiquer de la pêche sportive. Ces infrastructures se situent sur la Plage Andrés, à l’ouest de la plage de Boca Chica.